S’accorder aux éléments à travers la reconnaissance
Encore un pas vers soi, notre corps nous dit tout, faut-il encore savoir l’écouter ?
Ecouter son corps c’est se centrer, prendre le temps de ressentir, d’écouter c’est prendre les rênes de notre pleins potentiel en se mettant face à nous-même dans la vulnérabilité la plus sincère quel soit. Ouvrons nous a l’acceptation de celui que nous sommes et faisons grandir celui que nous aimerions être en laissant la place à l’absence de l’égo sur nos ressentis.
En relations consciente et inconsciente avec nos émotions, notre corps parle. Écoutons-le avec encore un peu plus de bienveillance.
Pour ce faire l’abandon de nombreuses pensées, mémoires, schémas, et de croyances ou encore des conditionnements feront l’objet d’une approche saine à notre égard. Comme vous le savez, nous faisons partis du monde animal après plusieurs années à consommer les produits du commerces nous sommes entrés dans la chimie et les modifications génétiques des aliments. Pensez-vous alors que les plantes et leurs bienfaits peuvent être reconnues comme tel par toutes ces couches de faussetés qui se trouve sur et dans notre corps ? D’après-moi non.
Respectons – modifions – aimons – reconnaissons – améliorons – créons
En chassant peu à peu les parasites qui brouillent encore les messages…nous obtenons alors le recul nécessaire, nous comprenons réellement le sens, ça vibre juste pour nous et nous nous rapprochons alors subtilement de la reconnaissance des plantes sur notre corps. Nous pouvons alors établir un bilan plus juste sur les éventuels déséquilibres physiques ou émotionnel que nous ressentons.
Unique guérisseur, c’est à travers les observations que nous entrons alors dans la magie du vivant. En étant un peu plus proche de nous-même, la nature se trouve alors juste à côté et n’attends plus qu’à partager ses bienfaits avec ce corps sain créant ainsi une symbiose de guérison la plus juste quel soit.
A travers notre peau, notre corps, nos cheveux, notre cuir chevelu, notre humeur, et aussi certaines douleurs, rapprochons-nous de nous et comprenons notre propre cycle. Enfin nous vivons alignés à la nature, et ses éléments.
Anticiper une carence éventuelle et la prévenir
Quelques exemples parmi d’autres:
- Où en êtes-vous dans votre cycle menstruel?
- Pouvez-vous observer un éventuel déséquilibre sur votre visage ?
- Vos cheveux ont-ils des périodes plus susceptibles à un excès de sébum ?
- Avez-vous des pellicules ? À quel période ?
- Des chutes de cheveux plus abondantes ?
- Une partie de votre corps est douloureuse ?
- La colère vous donne-t-elle des maux ?
- Le stress vous inflige-t-il des tensions musculaires ?
Avoir de l’estime pour soi-même, ne signifie pas de se trouver beau uniquement, mais trouver beau aussi chacun de ses gestes, chacune de ses émotions, chacun de ses actes et encore chacune de ses pensées. J’ai souvent remarqué que lorsque nous jugeons la beauté, elle est souvent mal apparentée. On nous enseigne qu’il faut être bien habillé, bien coiffé, bien maquillé pour être appelé « beau ou belle » et vous la dessous comment vous sentez-vous? Mettons-nous des couches pour nous camoufler ? « Je vais me faire les cheveux gris et au carré, regarde j’ai trouvé cette coupe sur internet » et si celle qui décide de le faire n’a pas un teint approprié, ou ses cheveux sont trop fins pour les décolorer aussi intensément ? « J’aimerais ressembler à Kim Kardashian » « Je suis sûre que si je me fais les cheveux plus foncés, je vais être plus attirante » Ou « Je n’ai pas lissé mes cheveux, je ressemble à rien » Que misez-vous sur l’obtention de cette nouvelle coupe à la mode ? Pourquoi se fixer des idéaux pareils ? Qu’est que vous espérez trouver en nourrissant vos idéaux de beauté ? Un sentiment d’être bien dans votre peau ? Si l’on parcourt quelques études menées pour quantifier l’estime de soi, on se rend compte que l’on atteint le plus haut niveau d’estime de soi relativement tard dans la vie, autour des soixante ans. Avez-vous remarqué que nous nous efforçons souvent à nourrir nos complexes en pensant que nous ne sommes pas à la hauteur de l’image que nous voulons projeter au monde. Nous nous faisons un idéal de nous-même, on se trouve trop si ou bien trop ça et on rêverait d’être plutôt comme ci ou comme ça, en prenant comme seul moyen de comparaison , « les autres » puis, on finit par se créer une identité d’après ce qu’on idéalise chez eux. Comme si nous nous étions construits une identité type et qu’un contrat était signé avec je ne sais qui. Et la loi de ce je ne sais qui est : Si vous ne remplissez pas les critères, vous souffrirez, enfermé dans une prison mentale ou plutôt victime d’un virus qui ne vous donnera jamais une chance de prendre le chemin vers la rencontre de soi. Et devant le miroir ? A chaque fois qu’on se regardera dans le miroir, nous essayerons de retrouver cet idéal que l’on s’est créé, mais ça n’arrivera jamais. Lorsque l’idéal n’est pas en phase avec le reflet que nous avons de nous-même, nous sommes alors comme un inconnu à nos propres yeux, n’est ce pas tragique ? Se connaître permet de s’accepter mais aussi de se reconnaître dans le reflet de son miroir pour enfin devenir son propre idéal en nourrissant son amour propre. Certes, il est important de plaire aux autres, mais pas en faisant abstraction de sa propre personnalité. Lorsqu'on se sent bien avec nous-même on peut se sentir bien partout. La seule chose aussi unique et singulière qui existe, c’est vous-même et vous êtes la seule chose qui vous appartienne vraiment sur cette terre, le moment est arrivé de vous aimer et de faire de vous votre meilleur allié. Et n’oublions pas, apprenons à nos filles qu’il ne s’agit pas d’être belle, mais d’être audacieuse, forte et intelligente. Etre courageuse et féroce. Etre réelle dans un monde plein de fausseté, il est temps de redéfinir la beauté."
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